Les amis du 104
Une dizaine d’habitants de Voulangis se sont réunis afin de créer une nouvelle association, “les Amis du 104”, Présidente Françoise BRUN-GRIVILLER, Trésorière Annie ADDAI, Secrétaire Françoise LEFEBVRE. L’objectif est de mettre en place un outil qui nous permettra de créer quelques évènements culturels : petits spectacles, concerts.
Depuis sa création l’association a organisé deux manifestations pour la célébration du Centenaire de la guerre de 14 :
– le dimanche 30 novembre 2014, église de Voulangis, concert-lecture avec la collaboration des Petits Choeurs du Grand Morin,
– le samedi 11 avril et le dimanche 12 avril, 2 représentations théâtrales sur la vie à Voulangis durant la guerre.
_
_
En prévision cette année :
– Le 11 novembre, nous exposerons à nouveau les panneaux de l’exposition du Centenaire de la Grande guerre.
– Le dimanche 6 décembre à 16h30, les Petits Choeurs du Grand Morin viendront interpréter des chants de Noël. Des enfants des écoles diront des poésies sur le thème de l’hiver.
– les 9 et 10 avril : Représentation théâtrale, “Fantaisie western” avec une ambiance saloon. Il s’agit d’un montage autour d’extraits de la pièce d’Obaldia, “Du vent dans les branches de sassafras”, d’un dialogue d’Audiard, tiré des “Tontons flingueurs” et d’ajouts personnels.
– le dimanche 30 novembre 2014, église de Voulangis, concert-lecture avec la collaboration des Petits Choeurs du Grand Morin,
– le samedi 11 avril et le dimanche 12 avril, 2 représentations théâtrales sur la vie à Voulangis durant la guerre.
_
_
En prévision cette année :
– Le 11 novembre, nous exposerons à nouveau les panneaux de l’exposition du Centenaire de la Grande guerre.
– Le dimanche 6 décembre à 16h30, les Petits Choeurs du Grand Morin viendront interpréter des chants de Noël. Des enfants des écoles diront des poésies sur le thème de l’hiver.
– les 9 et 10 avril : Représentation théâtrale, “Fantaisie western” avec une ambiance saloon. Il s’agit d’un montage autour d’extraits de la pièce d’Obaldia, “Du vent dans les branches de sassafras”, d’un dialogue d’Audiard, tiré des “Tontons flingueurs” et d’ajouts personnels.
“>